Lorsque l’on parcourt les montagnes du Mercantour, on est surpris par le nombre important de constructions qui s’échelonnent sur les pentes. Du point le plus bas de son territoire jusqu’à une altitude de 2 200m, le montagnard a bâti ce qui lui était nécessaire pour exploiter au maximum ces terres, ces pâturages élevés, dans un contexte climatique rigoureux et contraignant.
Pour la construction des différents abris, permanents ou temporaires, il a utilisé au mieux les matériaux qui se trouvent dans son environnement immédiat (pierre, bois, gypse, pierre à chaux, sable) en les transformant sur place.
Texte extrait de « l’Homme et la maison dans le Parc national du Mercantour ». BT Nature. PNM